Ma patrie, o le ciel et la mer se ressemblent, Est vtue de soleil et noye de bleu tendre Et quand viennent les bateaux, On les prend pour des oiseaux Dans le bleu de l’horizon Qui les confound Ïðèïåâ: Ma patrie, o le ciel et la mer sont les mmes, Les affairent, elle et lui, comme un couple qui s’aime Tous les deux, au matin, blancs comme les amandes, Et le jour, tout blouis Frangs d’or et de chaleur Tous les deux, refltant les lumires qui tremblent Des toiles de minuit Et des torches des pcheurs 2 Ma patrie, o le ciel et la mer se ressemblent, A, pour moi, dans la gorge, un orchestre qui chante Un chant pur et fraternel Don’t les mots sont ternels, O je vais, le coeur tendu Et les pieds nus Ïðèïåâ: Ma patrie, o le ciel et la mer me rassurent C’est, l-bas, un pays sans murs et sans armures Et je vois rire une fiance sur la plage Elle attend au soleil fou Elle court au rendez-vous O l’amour jaillira dans un lan sauvage Comme un cri n sur la mer, Comme un pin dans la lumire O l’amour nous fondra, tous les deux comme un bleu de mirage Dans la mer et dans le ciel Dans le ciel de ma patrie. Ñêà÷àíî ñ ñàéòà www.Muza.vip